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Forum Crypto-Monnaies / Kleros : la justice décentralisée
« on: June 14, 2018, 05:27:06 PM »



Kleros, ou “chance” en grec, renvoie à une machine en pierre pour tirer au sort des juges afin de résoudre des litiges dans la démocratie de la Grèce antique. Kleros a rénové ce système de justice en construisant une Organisation Autonome Décentralisé basé sur la blockchain Ethereum. Celle-ci permet de résoudre toutes sortes de litiges (freelancing, assurance, locations…) de manière efficiente, rapide et à faible coût.

Kleros a pour objectif de créer un protocole de justice pour Internet

Ce projet s’appuie sur des concepts issus de la théorie des jeux, de la cryptographie et de la blockchain pour obtenir des éléments de preuve, sélectionner des jurés et inciter à prendre des décisions honnêtes.

Kleros est une coopérative Française

La coopérative est un moyen de garantir la transparence et la décentralisation de la structure légale. Dans un premier temps, la répartition de votes sera distribué de telle sorte: 50% fondateurs, 25% producteurs (employés) et 25% (utilisateurs). Chaque année, la partie des fondateurs va décroitre jusqu’à disparaitre (environ 25ans).

Il est possible de réaliser une interview avec le Dr. Federico Ast, d’interroger ce dernier, PDG de Kleros. Le Dr. Ast pouvant faire l’interview directement en francais.

Diplômé de la Singularity University, le Dr. Ast est souvent invité à parler de la blockchain et du droit, notamment chez TedX.

Kleros présente une blockchain de “résolution des litiges” pour pratiquement tout


Kleros est gouverné par une Organisation Autonome Décentralisé (plus connu sous le terme de DAO) permet, quel qui soit le produit, le service ou l’organisation de résoudre des litiges. C’est pour cela que l’on parle de “protocole de justice” (ou plutôt layer en anglais) puisqu’il est destiné  à être utilisé par des applications tierces.

Dès la fin du Moyen Âge, l’expansion rapide des routes commerciales à travers le monde a fait naître le besoin d’établir un ensemble de règles qui pourraient être appliquées à l’échelle internationale à tous les commerçants. C’est ainsi qu’a été créée la lex mercatoria (loi des marchands) dans le but de garantir un arbitrage rapide et une application fiable des lois à une époque où le commerce international était en plein essor.

De même, aujourd’hui, à l’ère de l’information et d’Internet, un nouvel ensemble de règles voit le jour, tandis qu’une part toujours croissante de l’économie mondiale migre vers Internet, par-delà les frontières juridictionnelles des tribunaux étatiques. Cette loi n’est pas établie par les gouvernements, mais à l’instar de la lex mercatoria médiévale, par les marchands du commerce électronique et les plateformes où ils exercent leur activité. Néanmoins, l’écosystème naissant aurait beaucoup à gagner d’un ensemble de règles et de normes contractuelles communes permettant l’interopérabilité des services d’arbitrage.

Règlement obligatoire des litiges grâce à la blockchain

Kleros a pour objectif de créer un protocole de justice pour Internet. Le projet propose, pour ce faire, d’utiliser des contrats intelligents sur la blockchain, dont la technologie sous-jacente et la nature « sans tiers de confiance requis » (trustless) pourraient être jugées par n’importe quel tribunal. Le règlement des litiges et l’arbitrage seront intégrés aux transactions et consignés sur la blockchain. Les utilisateurs pourront choisir le service d’arbitrage qu’ils préfèrent au moment d’effectuer une transaction.

Toutefois, si les contrats intelligents sont assez intelligents pour s’exécuter automatiquement tel que programmés, ils ne le sont pas suffisamment pour rendre des jugements subjectifs ou inclure des éléments extérieurs à la blockchain. Les technologies actuelles de résolution des litiges sont trop lentes, trop onéreuses et trop peu fiables pour une économie mondiale décentralisée fonctionnant en temps réel. Kleros fournira un mécanisme de règlement des litiges décentralisé, fiable, transparent, abordable et rapide qui rendra des jugements définitifs sur le caractère exécutoire des contrats intelligents. C’est une institution clé pour l’ère de la blockchain.

Jugement des contrats intelligents par un jury participatif

Ce projet s’appuie sur des concepts issus de la théorie des jeux, de la cryptographie et de la blockchain pour obtenir des éléments de preuve, sélectionner des jurés et inciter à prendre des décisions honnêtes. Ces mesures d’incitation se basent sur un concept de la théorie des jeux connu sous le nom de point de Schelling ou point focal. L’idée fondamentale est de récompenser les jurés votant de façon cohérente avec la majorité. Ceux qui ne votent pas de façon cohérente devront être punis. Les utilisateurs qui font un travail honnête et de grande qualité gagneront de l’argent, tandis que les utilisateurs qui font un travail malhonnête et de mauvaise qualité en perdront.

Kleros fonctionne comme une organisation autonome sur Ethereum, qui travaille comme tierce partie décentralisée pour arbitrer les litiges relatifs à tous types de contrats, des plus simples aux plus complexes. Chaque étape du processus d’arbitrage (obtention d’éléments de preuve, sélection des jurés, etc.) est entièrement automatisée. Kleros ne compte pas sur l’honnêteté de quelques individus, mais sur des mesures d’incitation économique liées à la théorie des jeux.

Feuille de route du projet

Lorsqu’il sera entièrement fonctionnel, Kleros pourra être intégré dans quasiment tous les types d’applications conçues en ligne. Le protocole pourra également être utilisé pour un large éventail de décisions nécessitant une expertise technique pour l’allocation des ressources (réelles ou symboliques) entre les parties, telles que : freelance, financement participatif, oracles, jeux, assurances, droits d’auteur, commerce électronique et bien d’autres encore.

Le groupe Kleros a récemment été accepté au sein du Thomson Reuters Incubator, un poste de prestige dans l’une des plus grandes entreprises mondiales de l’industrie de l’information et du droit. Cette position nous offre l’accès à une énorme quantité de ressources et d’informations.

L’événement blockchain le plus important au monde, Consensus 2018, s’est déroulé il y a quelques semaines avec Federico Ast et Clément Leseage, respectivement CEO et CTO de Kleros, qui ont participé à la finale du concours Proof Of Work Pitch. Vous pouvez regarder le pitch en entier ici.

Kleros a choisi d’utiliser une nouvelle méthode innovante dans leur vente symbolique, du nom d’Interactive Coin Offering, ou IICO, d’abord proposée par Vitalik Buterin, Jason Teustch (TrueBit) et Christopher Brown (Modular). Tout d’abord, ils ont suggéré d’offrir un accès des plus équitables et égalitaires à tous les contributeurs, avec une participation garantie à la vente du jeton. Nous espérons que cette nouvelle méthode aidera à apporter une certaine clarté à un marché de la vente de tokens d’ICO des plus inégaux. Vous pouvez lire en détail comment cela fonctionne dans cet article.

Kleros dispose actuellement d’un prototype et prévoit de diffuser son protocole sur le Mainnet Ethereum en Juillet 2018. Le projet est totalement open source. Il n’appartient à personne et n’est volontairement parrainé par aucun investisseur institutionnel.

Pour en savoir plus, consultez les sites suivants : www.kleros.io
Slack : https://slack.kleros.io/
Twitter : https://twitter.com/kleros_io
Telegram : https://t.me/kleros

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Selon la recherche, les sociétés financières ont commencé à dépenser 63% de plus de fonds en pour la mise en place de la blockchain. Les experts ont arrondi à 1,7 milliard de dollars par an, avec une moyenne pour une entreprise de 10 millions de dollars. Certains PDG de géants financiers admettent qu'ils n'ont pas le temps d'observer le développement de cette technologie et maintenant la question est à l'ordre du jour.

Les statistiques publiées au début du mois de mai par Gartner montrent également les chiffres réels. Selon les données, seulement 9% des répondants pensent utiliser la blockchain chez eux, le reste dit ne pas s'y intéresser.

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Il y a quelques jours, le réseau de Litecoin Cash (LCC) a fait l'objet d'une attaque 51%. LCC est le hardfork de Litcoin (LTC), qui a eu lieu à la mi-février de cette année.

 L'ensemble des améliorations annoncées pour ce hardfork est assez standard: passage au système Proof-of-Work et à l'algorithme SHA256, réduisant le temps de création d'un bloc à 2,5 minutes (contre 10 minutes pour le Bitcoin), ce qui augmente la vitesse de confirmation de la transaction.

Et meme si l'équipe de Litecoin Cash a rapidement réagi à cette nouvelle et a immédiatement contacté les échanges, augmentant le nombre de confirmations du réseau à 100 pour compliquer le contrôle des malfaiteurs, cela devrait encore une fois nous rappeler la valeur de bitcoin et la fiabilité de son réseau.

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Si dès sa mise en application, l’interdiction des échanges de cryptomonnaies voulue par la Reserve Bank of India (RBI), a suscité de vives incompréhensions, comme celles exprimées par le milliardaire et Bitcoin evangelist Tim Draper, beaucoup se posaient une simple question : pourquoi ?

Demande de droit à l’information sur l’interdiction de la RBI


Il semblerait bien que l’instigatrice de cette interdiction, la RBI elle-même, ne sache pas pourquoi elle a prohibé en avril dernier, aussi brusquement que brutalement, d’ordonner la fermeture des comptes bancaires des plateformes d’échanges de cryptomonnaies, et des comptes de leurs utilisateurs, sous trois mois.

La contre-attaque ne s’est pas faite attendre, et notamment via l’avocat et conseiller juridique Varun Sethi qui, dès le 9 avril, avait déposé une demande de droit à l’information sur cette décision arbitraire de la Banque Centrale Indienne.

Les réponses de la RBI ont été révélées par Varun Sethi, comme l’explique le Quartz India : cette interdiction ne venait ni de conclusions d’un document de recherche, ni des conclusions d’un comité, ni de recherches d’informations auprès d’autres pays. En fait, on ne connait toujours pas le fondement de cette décision, si tant est qu’il y en ait un de valable.

Comme l’explique l’avocat au Quarte India :

« Il semble que l’interdiction ait été arbitraire et qu’elle soit entrée en vigueur sans aucune réflexion de la part de la RBI. Elle a soit répondu par la négative, soit donné des réponses contradictoires à nos questions demandant ce qui a conduit à cette interdiction (…) La RBI mentionne spécifiquement qu’elle n’a mené aucune recherche ou consultation avant la mise en place de la restriction en avril ». Varun Sethi


Pétition des exchanges contre la RBI : devant la Cour suprême indienne en juillet


Plusieurs exchanges indiens s’étaient réunis dans une pétition contre la Banque Centrale Indienne, pour déposer une requête contre son ordonnance d’interdiction devant la Cour Suprême de l’Inde, cette requête va être entendue le 20 juillet prochain.

Comme le déclare Nischal Shetty, fondateur et CEO de WazirX (un exchange indien) :

« Ils [la BRI] ont sorti cette interdiction, qui a des conséquences monumentales, sans faire de recherche significative et donc cela semble être une décision prise avec beaucoup de légèreté ».

D’après l’Economic Times, Rashmi Deshpande, un des avocats représentant l’un des pétitionnaires devant la Cour Suprême « Cette réponse de la RBI [au droit à l’information] a bétonné notre dossier avant l’audience à la Cour Suprême. Les motifs selon lesquels notre pétition a été déposée sont que la RBI n’a pas fait assez de recherches avant d’interdire complètement un secteur économique ».

Même le gouvernement indien, via la création de comités d’étude de l’univers des cryptomonnaies, semble prendre ses distances avec sa banque centrale. Comme il ne semble pas y avoir de bonnes raisons, en tout cas aucune présentée par la BRI, peut-être pouvons-nous en deviner : une peur instinctive et irrationnelle de l’évolution et du progrès, ou une peur de perdre ses privilèges ? Chacun est libre d’imaginer son « pourquoi ».

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Baikal Miner annonce l’arrivée de son nouvel ASIC qui sera capable de miner deux algorithmes à la fois.




Est-ce que quelqu’un se souvient encore des mineurs ASIC de Gridseed qui pouvaient miner du BTC et du SLD il y a quelques années? Et bien, il semble qu’un nouveau mineur ASIC à double algorithme provienne de Baikal Miner. Capable de miner deux algorithmes différents en même temps, le nouveau Baikal Miner BK-D prend en charge Blake256R14 ou Blake256R8 en tant que premier algorithme avec 280 GH/S ainsi que le LBRY ou Pascal en second algorithme avec 70 GH/S. Vous pouvez programmer le mineur pour qu’il mine l’une des deux paires d’algorithmes simultanément. Cet ASIC est donné pour 1100 W de consommation totale d’énergie sur ces deux algorithmes.

Il n’y a pas encore d’informations sur les prix, ni sur la disponibilité, cependant, Biakal Miner vient d’annoncer ce nouvel appareil et il n’est pas encore présent sur le site officiel de l’entreprise. En faisant un rapide calcul de rentabilité, cela ne semble pas trop intéressant pour le moment, mais le BK-D reste un produit intéressant puisque nous n’avons pas eu de doubles mineurs ASIC depuis un certain temps. La disponibilité et les prix de l’appareil peuvent faire toute la différence, nous devons donc attendre et voir ce qu’il en sera de ces données. Si son prix avoisine les 2100 $ sans alimentation, il faudra l’éviter, car il sera encore moins intéressant.

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Monero, l’une des plus connues – et sans doute la plus sulfureuse – des cryptos anonymes, avait fait souvent parler d’elle concernant les logiciels malveillants (malwares) qui permettent à des pirates informatiques de faire miner, à leur compte, des XMR à des ordinateurs infectés.

Les malwares de minage, une plaie qui se répand, avec une crypto privilégiée : XMR

Comme nous allons le voir, les travaux publiés ce 11 juin 2018 par Josh Grunzweig, chercheur au Palo Alto Networks, vont effectivement confirmer cet état de fait. Le chercheur a tout d’abord mis en évidence dans son étude que, le nombre de logiciels malveillants cherchant à infecter un ordinateur pour lui faire miner des cryptomonnaies, avaient connu une véritable explosion depuis fin 2017, et tout particulièrement pendant ces premiers mois de 2018.

Un autre élément très intéressant de ces recherches : la répartition des cryptomonnaies « bénéficiant » de ces malwares. En effet, on constate que les malwares visant à miner le King des cryptos, alias Bitcoin, ne représente même pas 9% du total, bien que le BTC soit la 2ème crypto la plus touchée. Peut être en partie dû à sa difficulté de minage. En revanche, bien loin devant et en 1ère place se trouve Monero (XMR), avec 84% (!) des malwares de minage le concernant.

5% du «circulating supply» de Monero miné frauduleusement

D’après ses recherches, Josh Grunzweig a précisé que « (…) les moneros [issus de malwares] total représenteraient environ 5% de tout les moneros en circulation (…) ». Il a en effet déterminé que près de 800 000 unités de Monero étaient issues des logiciels de minage malveillants, sur les 16 millions d’unités existantes au total.

Au moment d’écrire ces lignes (en plein marché baissier des cryptos), le cours du Monero est descendu à 125$ l’unité, mais cela représente tout de même à ce prix 100 millions de dollars. Le chercheur précise également que « le hashrate [puissance de calcul] total (…) représente environ 2% de la puissance de hachage globale qui exploite le réseau Monero », soit 19 MH/s qui seraient fournis par des ordinateurs infectés de malwares de minage.

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Plateformes blockchain : le leadership d’Ethereum

Au-delà des réseaux blo­ck­chain spé­cia­li­sés dans le paie­ment (comme le Bit­coin, le Ripple, le Bit­coin Cash ou le Lite­coin), une grande majo­ri­té des coins actuel­le­ment dis­po­nibles s’appuient sur le pro­to­cole Ethe­reum.

On a pu voir appa­raître ces der­niers mois de nom­breux pro­to­coles blo­ck­chain qui ambi­tionnent de concur­ren­cer Ethe­reum, en sédui­sant des déve­lop­peurs dési­reux de créer et de déployer des appli­ca­tions décen­tra­li­sées. Ain­si, EOS, NEO, Car­da­no, Qtum ou encore ICON sont désor­mais pré­sents dans le « Top 30 » des prin­ci­paux actifs numé­riques.

EOS – qui a éga­le­ment été lan­cé en tant que token Ethe­reum – est par­ve­nu à lever l’équivalent de 4 mil­liards de dol­lars, dans ce qui consti­tue désor­mais la plus grande ICO de l’histoire.

    « Vous ne pou­vez tout sim­ple­ment pas déve­lop­per d’applications et de pro­duits excel­lents sans dis­po­ser der­rière vous d’une base impor­tante de déve­lop­peurs. Mais aujourd’hui, envi­ron 250 000 déve­lop­peurs uti­lisent la pla­te­forme Ethe­reum. Dans la mesure où le sec­teur est encore très res­treint, il s’agit d’un chiffre impres­sion­nant. Le fra­me­work de déve­lop­pe­ment d’Ethereum, bap­ti­sé Truffle, a déjà été télé­char­gé plus de 500 000 fois. Et mal­gré la chute du prix de l’Ether enre­gis­trée cette année, l’intérêt des déve­lop­peurs n’a ces­sé de croître. »

Même le TRONIX – le dixième actif numé­rique, ados­sé à une valo­ri­sa­tion de plus de 3 mil­liards de dol­lars – a été déve­lop­pé en sui­vant la norme ERC20 d’Ethereum (il devrait tou­te­fois bien­tôt migrer vers une blo­ck­chain tota­le­ment indé­pen­dante).

Par­mi les autres pro­jets qui s’appuient sur Ethe­reum, on retrouve éga­le­ment VeChain, un réseau blo­ck­chain spé­cia­li­sé dans l’Internet des Objets, ICON, une pla­te­forme sud-coréenne, ou encore Zilli­qa, qui compte déployer un réseau capable de trai­ter plu­sieurs mil­liers de tran­sac­tions par seconde.


« Tout le monde dispose de fonds »

Face à une concur­rence féroce, M. Rooke estime qu’Ethe­reum va devoir batailler pour convaincre les déve­lop­peurs, et conti­nuer ain­si à faire figure de pla­te­forme blo­ck­chain de réfé­rence.

Il ajoute que le fait de dis­po­ser de finan­ce­ments impor­tants ne serait, selon lui, plus suf­fi­sant pour réus­sir le lan­ce­ment d’un pro­jet blo­ck­chain per­met­tant de déployer des appli­ca­tions décen­tra­li­sées.

    « Com­ment est-il pos­sible d’attirer des déve­lop­peurs lorsque per­sonne n’utilise une pla­te­forme ? Com­ment inci­ter des inter­nautes à uti­li­ser une pla­te­forme s’il n’existe pas de déve­lop­peurs prêts à uti­li­ser cette infra­struc­ture pour créer des appli­ca­tions ? D’une cer­taine manière, il est néces­saire de dis­po­ser de finan­ce­ments pour lan­cer un pro­jet. Mais aujourd’hui, dans l’écosystème cryp­to, tout le monde pos­sède des fonds – même Ethe­reum – et ceci vient effa­cer ce qui consti­tue­rait, dans un autre sec­teur, un avan­tage concur­ren­tiel», a-t-il ajou­té.

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On n’arrête plus Binance : après avoir quadruplé son nombre d’utilisateurs depuis le début de l’année, la deuxième plus grande plateforme d’échange de cryptos annonce l’arrivée de paires d’échange en euros dès cette année.

Dans sa lutte avec OKEx pour la place du plus grand exchange en termes de volume de cryptomonnaies échangées, Binance a donc dégainé un argument de poids avec l’ajout de l’euro comme monnaie d’échange, dès 2018.

D’après Bloomberg, le CEO de Binance – Zhao Changpeng – a indiqué que la plateforme recevrait bientôt une licence de l’île anglo-normande de Jersey, et prévoit d’y ouvrir des bureaux (comptant jusqu’à 100 employés). Il a également précisé que la compagnie est en pourparlers avec les autorités et des banques à Taiwan.

Toujours d’après son CEO, Binance est passée de 2 millions d’utilisateurs en janvier 2018 à plus de 9 millions aujourd’hui.




Binance avait récemment ajouté le TrueUSD (TUSD) à son offre, en plus de l’USDT de Tether, mais cela ne semble pas suffisant pour l’exchange en pleine expansion. Même si l’ajout de la monnaie européenne va attirer les investisseurs désireux d’utiliser directement leurs euros, cela risque peut-être d’en effrayer certains autres. En effet, l’introduction par Binance du trading via des monnaies fiduciaires va soumettre l’entreprise à une série de réglementations qui pourraient décourager ceux qui, parmi ses utilisateurs actuels, préfèrent trader de manière anonyme.

Difficile de dire à l’avance si le flux d’utilisateurs entrant sera plus grand que le flux sortant, mais une chose est sûre en revanche : Binance est en constante évolution pour tenter de s’accaparer la position tant convoitée de plateforme d’échange N° 1 du monde des cryptos.

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Changpeng Zhao, PDG de Binance, la plus grande bourse de crypto-monnaies au monde au terme de volumes de négociation, a déclaré que la baisse récente du prix du Bitcoin est historiquement normale.

Le Bitcoin (BTC), la plus grande crypto-monnaie au monde par sa capitalisation boursière, a récemment atteint son plus bas niveau depuis trois mois. Au moment d’écrire ces lignes, le Bitcoin se négociait à 6 795,30 $ selon CoinMarketCap, ce qui marque une baisse de 6,38% au cours des dernières 24 heures.

Malgré la baisse des prix, le PDG de la plus grande bourse de crypto-monnaie reste calme, notant qu’il n’y a rien d’anormal à propos de la correction des prix actuels.


Dans son tweet, Zhao a partagé quelques graphiques qui montrent des similitudes significatives dans le comportement de la plus grande crypto-monnaie du monde. Cependant, il note également que malgré ces corrections de prix substantielles, le facteur clé à prendre en compte est la progression substantielle du prix du Bitcoin au fil des années, en référence aux «unités de gauche».

Dans le tweet de Zhao, les gens peuvent voir le mouvement du Bitcoin à partir de 2012. En regardant de plus près les chiffres montrent que depuis 2010, le Bitcoin a régulièrement subi des corrections encore plus importantes que la baisse actuelle.

En 2010, le BTC a perdu 94% de sa valeur entre le 14 septembre et le 8 novembre.

En 2011, le prix du Bitcoin est passé de 32 dollars le 8 août à 2 dollars le 17 novembre, soit 94% de plus.

Le 30 novembre 2013, il s’est échangé pour 1166 $ seulement pour tomber à 170 $ plus d’un an plus tard le 14 janvier 2015, marquant une autre baisse substantielle de 85%.

En 2018, le Bitcoin a atteint son plus haut niveau historique (ATH) le 7 janvier, date à laquelle il a été échangé pour 17 579 $ selon CoinMarketCap. Cela signifie que depuis lors le BTC a perdu environ 61% de sa valeur.

Que le Bitcoin continue de tomber en chute libre ou qu’il ait déjà touché le fond est quelque chose que seul le temps montrera. L’analyste bien connu Tone Vays a déclaré que 4975 $ est un scénario de prix baissier « optimiste » alors que Tom Lee semble rester ferme sur le prix de fin d’année de 25.000 $.

Cependant, s’il y a quelque chose que l’histoire nous dit, c’est que quelle que soit le coup qu’il prend, le prix du Bitcoin récupère toujours, et chaque fois il le fait mieux qu’avant.

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Lorsqu’un régulateur financier ouvre une enquête interne sur la manière de taxer les crypto-monnaies, les rapports médiatiques font immédiatement référence à une répression ou à un resserrement de réglementations. Cela illustre le paradoxe de la régulation à laquelle cette nouvelle forme de monnaie est confrontée. Toutefois, les autorités financières polonaises ont fait savoir dernièrement que la monnaie virtuelle et le trading qui lui est appairé, possèdent bel et bien un cadre et une définition légale dans le pays.




Pas de panique


La commission de surveillance financière polonaise (KNF) a cherché à clarifier le statut des crypto-monnaies et celui de son trading. Elle « reconnaît les doutes qui planent sur l’uniformisation des considérations juridiques liées aux échanges de crypto-monnaies. »

Pendant que la KNF mène une campagne de sensibilisation de 30 jours sur les risques liés aux crypto-monnaies (un projet de 4,85 millions de dollars), des erreurs de principe et d’interprétation ont été dénichées. Ce qui a poussé le régulateur à annoncer explicitement qu’aucune règle polonaise n’interdit les activités des crypto-bourses.

Le site internet de l’autorité polonaise de surveillance financière confirme cette promesse de légalité. Les transactions en crypto-monnaies sont « légales sur le territoire de la République de Pologne. »


Le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme comme préoccupation principale

Même si le chien de garde polonais (Watchdog) est moins strict que d’autres, la prudence est de mise car la crypto-monnaie est toujours révélatrice d’une carence juridique.

Les escroqueries et fraudes autour de l’industrie font l’objet de plusieurs battages médiatiques. Les citoyens exigent que leurs droits soient protégés et la KNF entend bien s’y appliquer.

La réglementation que le gouvernement polonais tend à établir concerne les éventuels financements du terrorisme et la législation contre le blanchiment d’argent. La nouvelle loi intitulée « institutions assujetties » entrera en vigueur le 13 juillet 2018. Elle ne mentionne pas les crypto-monnaies mais plutôt l’échange, l’achat et la vente de monnaies numériques qui sont considérés comme assujetties à la régulation.

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Mastercard vient de publier un brevet aux États-Unis pour la vérification des paiements par carte basée sur la blockchain. Ce brevet est conçu pour empêcher le « skimming » des cartes. Une pratique qui consiste à pirater (cloner) des cartes bancaires, à l’aide d’un lecteur à mémoire, souvent depuis un commerce ou un distributeur de billets.

La description du brevet soumis par Mastercard suggère que le système exigera que les détenteurs de cartes aient un autre dispositif en main pour authentifier davantage les transferts, bloquant tout les paiements de la carte s’ils ne sont pas authentifiés.

L’utilisation d’une source de données tierce permet à un individu d’effectuer des transactions en toute sécurité sans se préoccuper que ses informations de paiement ne soient dérobées de son dispositif de paiement, ou sans même avoir à transporter un dispositif de paiement.

« La transaction pourra être effectuée via l’affichage d’un code lisible par une machine sur le dispositif de paiement, ce qui pourra empêcher le skimming » lit-on dans le brevet.

Ce n’est pas quelque chose de nouveau, et ce n’est pas quelque chose qui nécessitait historiquement une blockchain pour fonctionner. Les banques ont longtemps utilisé ce type d’authentification pour les portails bancaires internet de leurs clients.

Cependant, le fait que ce système utilise une blockchain pour stocker les données d’identification pourrait faciliter les transactions commerciales, car elles ne dépendent pas de la solidité d’un seul point de défaillance.

Rappelons que le leader des paiement digitaux à déjà déposé des brevets utilisant la blockchain, dès le mois d’octobre de l’année dernière, avec un brevet concernant les paiements fiat qui utilise une blockchain propriétaire.

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Diverses entités, utilisateurs et entreprises cherchent généralement à introduire leurs propres crypto-monnaies. Il est assez difficile de le faire avec succès, car toutes les devises ne sont pas égales. Wan Kuok-toi, un ancien patron de la triade de Macao, cherche à lancer sa propre crypto-monnaie et l’écosystème associé de la blockchain. C’est un développement remarquable, mais qui sera critiqué.

Bien que plus de concurrence dans le monde de la crypto-monnaie puisse être une bonne chose, il reste à voir comment la crypto-monnaie Dragon Coin se comportera. Lors de l’ICO, le projet a recueilli 320 millions de dollars, ce qui est un montant plus que respectable. Diverses offres initiales de pièces de monnaie ont connu beaucoup moins de succès au cours des dernières années, même s’il y a beaucoup d’argent qui change de main dans cette industrie.

Alors que la crypto-monnaie Dragon Coin a déjà connu sa part de succès, il semble que ce projet suscite également de nombreuses controverses. Plus précisément, l’une des entreprises derrière cette devise a un membre du personnel avec un fonds plutôt douteux.

Wan Kuok-toi est une personnalité bien connue dans la région Asie-Pacifique. L’ancien chef de la tribu de Macao, surnommé Broken Tooth, a été condamné à 14 ans de prison pour des crimes liés aux gangs. Depuis sa sortie en 2012, il semble que Broken Tooth a développé un intérêt pour la technologie de la blockchain et la crypto-monnaie. Ce n’est pas la première fois qu’un criminel condamné a eu un impact sur la crypto-monnaie, comme Charlie Shrem a fait de même il y a quelques années.

Selon le South China Morning Post, la nouvelle entreprise cherche à construire une ville culturelle chinoise au Cambodge. Cela sera réalisé en utilisant la technologie de la blockchain, et se concentre principalement sur la diffusion d’informations lié à la culture chinoise pour les personnes d’origine chinoise résidant à l’étranger. C’est une idée remarquable qui semble avoir beaucoup de mérite sur papier, mais il reste à voir comment tout cela va se mettre en place.

C’est la crypto-monnaie native associée à ce projet qui soulèvera beaucoup de questions. Cela est particulièrement vrai compte tenu du fait que la nouvelle monnaie est conçue pour être utilisée à diverses fins, allant des casinos aux hôtels et au commerce électronique.

Comme des projets similaires, celui-ci devrait avoir une chance de réussir. L’implication d’un ancien chef triade de Macao notoire pourrait en fait travailler en faveur de cette nouvelle entreprise de la blockchain. Les « intelligences de rue » ne devraient pas être sous-estimées dans le monde de la finance, bien qu’elles soulèvent beaucoup de questions dans ce cas précis. C’est une entreprise très intrigante qui mérite d’être surveillée.

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D’après Cryptovest, Justin Sun, fondateur du projet Tron, aurait finalement réussi à fusionner son entreprise Rainberry Acquisition avec Rainberry Inc, la nouvelle dénomination de BitTorrent. En effet, de nouvelles informations ont récemment émergé, indiquant que les deux sociétés ont entamé les procédures judiciaires pour une fusion d’entreprises, mais pour l’instant aucun communiqué officiel n’a été émis.


Comme le précise Variety, même si les détails financiers de l’acquisition ne sont pas officialisés, Justin Sun et la Tron Foundation ont largement assez d’argent pour racheter BitTorrent. La valorisation totale de la cryptomonnaie TRX dépasse actuellement les 3 milliards, dont plus de 1 milliard serait détenu par la Tron Foundation.

La société BitTorrent, créée en 2004, reposait sur le protocole de partage de fichiers de pairs à pairs (P2P), qui fonctionnait en décomposant de gros fichiers en petits morceaux, les distribuant sur un réseau de pairs, et en les réassemblant en un seul et même fichier à la fin. Au plus fort de l’activité du réseau, il a supporté jusqu’à 170 millions d’utilisateurs chaque mois. Depuis, BitTorrent a dû faire face à des défis constants, son fondateur – Bram Cohen – ayant même quitté son poste de CEO pour créer, en avril 2017, son propre projet de cryptomonnaie : Chia.


Il est possible que cette fusion fasse partie d’un plan plus vaste, visant à utiliser le MainNet de Tron nouvellement lancé pour faciliter les transactions P2P, éventuellement en utilisant TRX. Cela afin de partager des médias et des informations sur une plate-forme déjà largement adoptée et bien testée comme l’est BitTorrent.

En tout cas, maintenant son MainNet lancé, Tron va être scruté de près par le marché, pour voir si cette cryptomonnaie arrive à tenir toutes ces promesses. Restera à voir si l’officialisation du rachat de BitTorrent aidera Tron à performer dans ce marché crypto globalement baissier pour l’instant.

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Un important centre commercial basé en Slovénie élargit un projet pilote de paiement de crypto-monnaie.

BTC City Ljubljana, située dans la capitale slovène de Ljubljana, permettra à un groupe de 150 personnes d’utiliser des crypto-monnaies dans 24 entreprises situées dans le complexe tentaculaire, qui, selon le site internet, compte plus de 500 vitrines. Incluant des services pour l’habillement et l’électronique ainsi que des restaurants, a rapporté lundi la chaîne de télévision slovène « 24 Ur ».

Malgré son nom, il n’y a aucune relation entre bitcoin et le complexe commercial populaire, qui a été appelé l’un des plus grands d’Europe. Il a ouvert ses portes dans les années 1950 avant d’être rebaptisé Centre Blagovno Transportni – ou BTC – Ljubljana.

Plus tôt cette année, le centre commercial a co-développé le projet avec la startup Eligma, qui propose un système de paiement baptisé Elipay qui facilite les transactions dans les crypto-monnaies via une application mobile.


Avec plus de 500 magasins sur son territoire, le centre commercial vise à devenir le premier centre commercial au monde à accepter les crypto-monnaies.

L’objectif d’établir une « ville Bitcoin » en Slovénie, comme suggéré par les rapports locaux, a été soutenu par le gouvernement du pays lorsque le Premier ministre Miro Cerar et le secrétaire d’Etat Tadej Slapnik ont ​​visité le centre commercial plus tôt ce mois-ci.

Cerar a également parlé de la blockchain l’année dernière lors d’une conférence. Le Premier ministre a souligné l’utilisation de la blockchain dans les services publics – un objectif que son administration cherchait à atteindre à l’époque.

« Nous préparons déjà les premiers essais pilotes pour la technologie dans l’administration de l’Etat », a-t-il déclaré lors du lancement d’un nouveau groupe de réflexion dédié à la technologie et à la blockchain.

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Un rapport avec le procès à venir ? Mais non, mais non, vous voyez le mal partout. – Pour vous, quelle différence existe-t-il réellement entre Ripple et Ripple, le token XRP et sa maison-mère ? Pour beaucoup d’investisseurs, la nuance est au mieux fine, si ce n’est même inutile. Pourtant, elle est fondamentale, étant donné que les fondateurs de l’entreprise sont les créateurs et principaux possesseurs de ce token en premier lieu, s’étant gardé une bonne part du gâteau au lancement.


Avec près de 55 milliards de XRP conservés de côté lors du lancement initial, les fondateurs ont gardé la main sur une manne conséquente : près de 60% de tous les tokens jamais disponibles sont possédés par l’entreprise Ripple, 7% supplémentaires sont possédés par Chris Larsen, et le PDG Galinghouse possède également de son côté 6% supplémentaires. En se focalisant seulement sur l’entité Ripple et ses fondateurs, on arrive donc à un système financier supposément révolutionnaire et censé être utilisé comme passerelle universelle par les banques du monde entier, mais dont près de 73% des tokens sont possédés par Ripple l’entreprise ou un de ses fondateurs.

Rajoutez à cela le comportement ambigu adopté pendant longtemps par la société, avec un discours ne dissociant pas réellement son token XRP, sa société Ripple, ainsi que sa technologie de transfert interbancaire xRapid, et vous obtenez la recette parfaite pour convier rapidement la SEC à votre barbecue de team bulding Ripple cet été.

C’est pourquoi la société Ripple, fondateur comme dirigeant, cherche désormais à en finir avec ce lien devenu gênant, une bonne fois pour toute.

Sortir du brouillard et se dire en règle ?

On observe donc depuis quelques temps un changement de paradigme : l’entreprise Ripple veut désormais se débarrasser de ce lien ressenti comme un boulet d’avec son token XRP, dont il est pourtant l’émetteur, et malgré qu’un certain nombre d’éléments appuie toujours la thèse selon laquelle Ripple l’entreprise et Ripple le token ne font qu’un, et le plus frappant d’entre eux étant que son symbole sur les marchés est une abréviation du mot “ripple”. Pour marquer la distinction nouvelle, des propositions de logos abondent pour adopter une représentation visuelle qui ressemble à tout sauf à un ricochet (ripple).

La stratégie assumée est donc d’essayer d’imposer un nouveau symbole pour le XRP. Un symbole qui ne soit pas seulement un logo, mais une véritable marque, voire même plus : un signifiant intégré par le public comme porteur de valeur monétaire, pour venir tenter de lutter d’égal à égal et à la même échelle avec une monnaie nationale ou encore Bitcoin. La recherche d’un signe universel propre au XRP est donc centrale pour l’entreprise Ripple. Le logo actuel est très connoté comme une référence à la compagnie Ripple, mais il convient et remplit son rôle.

Le nouveau logo devra être totalement différent et bien se référer préférentiellement visuellement au XRP, et à lui seul.

Plus de détails :
https://journalducoin.com/altcoins/quand-le-ripple-nassume-plus-son-nom/

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